pix pix
logo webjardiner


Serveur de secours de webjardiner.com !!!
        Espace disponible
 Franceabris
 Tendance carrelage
 Location matériel
 Passion faune et flore
 engrais légumes,fruits
 Lace homecoming dresses
 Robe de bal de promo
 Robe de soirée pas cher
pix pix
pix pix
  S’enregistrer  -  Se connecter Accueil Accueil | | Liens Web Liens Web | disk Download | Livre d'or Livre d'or | Contact Contact mercredi 24 avril 2024    
pix pix
Menu général :
pix
pix   pix
pix pix
pix   pix

Jardin potager
pix
pix   pix
pix pix
pix   pix

Jardin d'agrément
pix
pix   pix
pix pix
pix   pix

La flore sauvage
pix
pix   pix
pix pix
pix   pix

A voir
pix
pix   pix
pix pix
pix   pix

pix pix

Index des articles > Les news > Trois insecticides pourraient être interdits en Europe


Trois insecticides pourraient être interdits en Europe 

Article posté par Chtismis.
Paru le jeudi 17 janvier 2013 à 11:34
Vu 622 fois.
Note : etoiles5 (1 vote)

Trois insecticides pourraient être interdits en Europe

insecticides



Trois insecticides pourraient être interdits en Europe Mots clés : Cruiser, Gaucho, Poncho, Europe, Efsa Mis à jour le 16/01/2013 à 19:20 | publié le 16/01/2013 Les trois insecticides systémiques de la famille des néonicotinoïdes ont pour effet de désorienter les abeilles au point de les rendre incapables de retrouver leur ruche.Crédits photo : Carolyn Kaster/AP L'Agence européenne de sécurité des aliments pointe le risque du Gaucho, du Poncho et du Cruiser pour les abeilles. Accusés de porter atteinte aux colonies d'abeilles, trois insecticides utilisés en traitement de semences pourraient être bientôt interdits ou, à tout le moins, strictement réglementés en Europe. Même si certaines données sont encore indisponibles, le rapport publié mercredi en ligne par l'Agence européenne de sécurité des aliments (Efsa) est accablant pour l'imidaclopride (Gaucho), la clothianidine (Poncho) et le thiamotexam (Cruiser) qui se retrouvent de plus en plus sur la sellette. Les experts scientifiques de cette institution basée à Parme (Italie) ont identifié trois voies d'exposition des abeilles à ces pesticides: via le pollen et le nectar des fleurs, les poussières dispersées lors des semis ou encore les exsudats secrétés par les plantes traitées. Sur le premier point, «seuls les usages sur des cultures non attractives pour les abeilles sont considérés comme acceptables», écrivent-ils. Ce qui exclut a priori le colza et le tournesol, plantes mellifères régulièrement visitées par les pollinisateurs. S'ils ne les tuent pas directement, ces insecticides systémiques de la famille des néonicotinoïdes ont pour effet de désorienter les abeilles au point de les rendre incapables de retrouver leur ruche. C'est ce qu'avait démontré, pour la première fois de manière expérimentale, une étude française publiée en mars dernier dans la revue Science. Suite à ce travail piloté par des chercheurs de l'Inra d'Avignon et de l'Association de coordination technique agricole (Acta), la France avait interdit, en juillet, l'utilisation du Cruiser OSR sur semences de colza. De son côté, la Commission européenne avait saisi l'Efsa en lui demandant de procéder à une évaluation complète de ces produits. Jugeant les conclusions de l'agence «inquiétantes», Frédéric Vincent, porte-parole de Tonio Borg, commissaire européen en charge de la Santé et des Consommateurs, a indiqué qu'une lettre sera adressée «cette semaine» aux groupes Bayer et Syngenta qui commercialisent les trois produits incriminés. Les industriels ont «jusqu'au 25 janvier pour répondre». Ensuite, «la Commission, avec les États membres, prendra les mesures qui s'imposent», en particulier lors de la réunion du comité permanent de l'UE en charge de ces questions prévue le 31 janvier, souligne M. Vincent. En plus de la France, d'autres États membres, comme l'Italie, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Slovénie ont déjà limité ou interdit l'usage de ces produits. L'objectif de la Commission européenne est d'arrêter une ligne de conduite commune au sein de l'UE qui peut aller jusqu'à une interdiction des produits incriminés. «Cet avis identifie les risques mais ne prend pas en compte l'impact positif des mesures de gestion», déplore Xavier Thévenot, de Syngenta, qui cite l'exemple des déflecteurs installés aujourd'hui en France, sur la quasi-totalité des semoirs de maïs. Testée par l'Irstea (ex-Cemagref), «cette technique permet d'éviter la dispersion des poussières et donc de protéger efficacement les abeilles», insiste-t-il. Les industriels chiffrent les bénéfices des nicotinoïdes à 4,5 milliards d'euros par an pour l'économie européenne. Ils rappellent également, non sans raison, les abeilles paient aussi un lourd tribut aux maladies, aux parasites comme le varroa ou le frelon asiatique, à la disparition de leur habitat, pour les espèces sauvages, et au manque de nourriture.


pix   pix


pix pix

Partenaires: Calendrier des brocantes 2014 | Passion faune et flore | Tendance-carrelage | Abri de jardin | monjardinbio | Lienendur.fr | Location matériels BTP | Au petit potager | jardinages.com | Petz-passionanimaux | Mr et Mme ont un fils | Ail rose de Lautrec

pix pix
Réalisation du thème headev.com